La commune d'arrondissement de Garoua II
La commune de Garoua II est une municipalité dynamique et en pleine expansion. Elle se caractérise par une forte diversité culturelle et une économie basée sur l’agriculture, le commerce et l’artisanat. Ses infrastructures en développement visent à améliorer la qualité de vie des habitants et à renforcer l’attractivité de la ville.
Histoire de Garoua II
Garoua II a été créée par le décret présidentiel N°2007/117 du 24 avril 2007 lors de la division de la commune urbaine à régime spécial de Garoua. Cette subdivision avait pour objectif de décentraliser la gestion administrative et d’accélérer le développement local. Depuis sa création, la commune s’efforce d’améliorer les services sociaux, d’investir dans les infrastructures et de valoriser son patrimoine naturel et culturel.
Les langues parlés
Les principales langues parlées dans la commune sont :
• Le Foulfouldé
qui est la langue véhiculaire majoritaire
• Le Haoussa
utilisé principalement dans les échanges commerciaux
• Autres langues ethniques
Fali, Laka, Bata, Sara, Moundang, Guidar, Mboum, Toupouri, Bororo, Kanouri, Ngambaye, Lélé
• Autres langues ethniques
Fali, Laka, Bata, Sara, Moundang, Guidar, Mboum, Toupouri, Bororo, Kanouri, Ngambaye, Lélé
Détails sur la Population
- Nombre d’habitants : Environ 200 000
- Répartition :
- 120 000 habitants en zone urbaine
- 80 000 habitants en zone rurale
- Taux de croissance démographique annuel : 2,9%
- Taille moyenne des ménages : 5 personnes
- Population active : 44 000 personnes travaillent dans l’agriculture, dont 20 600 hommes et 23 400 femmes
Groupements Ethniques
La population de Garoua II est cosmopolite et comprend des ethnies locales ainsi que des populations venues des pays voisins tels que le Nigéria, le Mali, le Tchad, le Sénégal et le Niger. Les principaux groupes ethniques présents sont :
- Peulhs
- Fali
- Haoussa
- Laka
- Bata
- Sara
- Moundang
- Guidar
- Mboum
- Toupouri
- Bororo
- Kanouri
- Ngambaye
- Lélé
Parties Politiques
La commune de Garoua II est dominé politiquement par le parti UNDP (Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès). L’ensemble des 35 conseillers municipaux appartiennent à cette formation politique.
